Carole Fabacher est la présidente fondatrice de la Gugga Musik de Buhl qui propose, demain, une soirée paella à la salle de gymnastique du village
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| Carole Fabacher joue de divers instruments au sein de la Gugga Musik. Photo Bernard Erhard |
Carole Fabacher, pourquoi la Gugga Musik organise-t-elle une soirée paella demain, samedi 19 janvier, à Buhl ?
Depuis l’année de création de la Gugga Musik en 2007, nous proposons ce genre de soirée. Elle annonce, comme tous les ans, le début des festivités carnavalesques, puisque nous participerons cette année encore à de nombreuses cavalcades, mais également, plus tard dans la saison, à des fêtes de rue. Cette année, notre programme est relativement complet avec Kembs, Masevaux, Issenheim, Saint-Amarin et bien sûr Buhl, où nous ouvrirons le défilé du 24 février dans les rues de notre cité.
Que proposez-vous pour cette soirée festive ?
À l’animation, nous avons le duo local Marie-Claude et Jean-Paul, que l’on ne présente plus ! Nous proposons également deux tombolas : une gratuite et une autre moyennant quelques euros, avec à la clé un superbe gros lot : un baptême de l’air. La soirée sera également agrémentée d’une remise de médailles et de diplômes.
Votre formation « D’Behler Schlappabader » compte-t-elle beaucoup de musiciens ?
Notre Gugga Musik, la seule dans le Florival, a été portée sur les fonts baptismaux le 7 octobre 2007. Elle est le fruit d’un « petit brin de folie » de deux couples d’amis musiciens qui n’ont pas hésité à se lancer. Au départ, notre formation baptisée « D’Behler Schlappabader » comptait dans ses rangs 25 musiciens. Aujourd’hui, notre effectif s’est considérablement étoffé avec 45 musiciens.
Vous déplacez-vous également hors de la région, voire de nos frontières ?
Depuis trois ans, nous sommes les hôtes de nos amis belges d’Hervé. L’an passé, notre plus gros week-end a été consacré aux festivités de Saint-Pierre de Chandieu à Lyon. Mais nous évoluons également dans les régions limitrophes : Lorraine et Franche-Comté. Au fil des saisons, nous avons aussi peaufiné notre « look » avec un costume de moine plus tape-à-l’œil.
Et vous, Carole Fabacher, de quel instrument jouez-vous dans la formation ?
Je suis professeur de musique et ai une bonne base d’accordéoniste. Avec mes amis musiciens, je joue de la trompette mais également de la batterie.
Pour conclure, quelle est la prestation qui vous a marquée ?
Nous sommes la seule formation qui, grâce au Père Moglo, a le privilège de jouer à l’église Saint Jean-Baptiste à l’Épiphanie.
( Source L'Alsace, Propos recueillis par Bernard Erhard )
Depuis l’année de création de la Gugga Musik en 2007, nous proposons ce genre de soirée. Elle annonce, comme tous les ans, le début des festivités carnavalesques, puisque nous participerons cette année encore à de nombreuses cavalcades, mais également, plus tard dans la saison, à des fêtes de rue. Cette année, notre programme est relativement complet avec Kembs, Masevaux, Issenheim, Saint-Amarin et bien sûr Buhl, où nous ouvrirons le défilé du 24 février dans les rues de notre cité.
Que proposez-vous pour cette soirée festive ?
À l’animation, nous avons le duo local Marie-Claude et Jean-Paul, que l’on ne présente plus ! Nous proposons également deux tombolas : une gratuite et une autre moyennant quelques euros, avec à la clé un superbe gros lot : un baptême de l’air. La soirée sera également agrémentée d’une remise de médailles et de diplômes.
Votre formation « D’Behler Schlappabader » compte-t-elle beaucoup de musiciens ?
Notre Gugga Musik, la seule dans le Florival, a été portée sur les fonts baptismaux le 7 octobre 2007. Elle est le fruit d’un « petit brin de folie » de deux couples d’amis musiciens qui n’ont pas hésité à se lancer. Au départ, notre formation baptisée « D’Behler Schlappabader » comptait dans ses rangs 25 musiciens. Aujourd’hui, notre effectif s’est considérablement étoffé avec 45 musiciens.
Vous déplacez-vous également hors de la région, voire de nos frontières ?
Depuis trois ans, nous sommes les hôtes de nos amis belges d’Hervé. L’an passé, notre plus gros week-end a été consacré aux festivités de Saint-Pierre de Chandieu à Lyon. Mais nous évoluons également dans les régions limitrophes : Lorraine et Franche-Comté. Au fil des saisons, nous avons aussi peaufiné notre « look » avec un costume de moine plus tape-à-l’œil.
Et vous, Carole Fabacher, de quel instrument jouez-vous dans la formation ?
Je suis professeur de musique et ai une bonne base d’accordéoniste. Avec mes amis musiciens, je joue de la trompette mais également de la batterie.
Pour conclure, quelle est la prestation qui vous a marquée ?
Nous sommes la seule formation qui, grâce au Père Moglo, a le privilège de jouer à l’église Saint Jean-Baptiste à l’Épiphanie.
( Source L'Alsace, Propos recueillis par Bernard Erhard )
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